Supervision des systèmes IT publics
de nouvelle génération
Le e-gouvernement d’aujourd'hui ne saurait se résumer à la rationalisation de certaines procédures : il implique des objectifs ambitieux,
une multitude d’acteurs et un cadre juridique extrêmement large. La supervision du secteur public est porteuse de nombreuses promesses.
Il ne s’agit ni d’un atout supplémentaire ni d’un luxe, mais bien d’un des piliers de l’activité d’un service public qui vit avec son temps,
fonctionne comme une machine bien huilée, et se concentre sur les besoins des citoyens
Avec PRTG, la supervision des systèmes du secteur public reste simple, mais les performances,
la clarté et la simplicité d’utilisation sont bien au rendez-vous.
Donner aux gouvernements les moyens de leurs ambitions
Le terme e-gouvernement désigne l’usage de ressources techniques pour fournir des services publics aux citoyens d’une région ou de tout un pays. En théorie, cela englobe toutes les relations mutuelles, c'est-à-dire les interactions numériques entre citoyens et pouvoirs publics, entre l’État et ses organes ou ses institutions régionales, entre un gouvernement et ses citoyens, entre l’État et les fonctionnaires, et entre l’État et les entreprises. Si les termes e-gouvernement et gouvernement 2.0 sont parfois utilisés comme des synonymes, le cabinet Gartner explique que ce dernier présente les 7 caractéristiques suivantes. Il :
- est impulsé par les citoyens
- s’articule autour des employés
- évolue en permanence
- provoque de grands changements
- convoque un savant mélange de planification et d’accompagnement
- a besoin de capacités stratégiques fondées sur l’étude de tendances
- réclame une nouvelle forme de management
En même temps, cependant, des domaines comme le Big Data, l’Internet des Objets (IoT), la gestion des processus administratifs et métiers, la blockchain, et les mécanismes sophistiqués de supervision participent tous à stimuler l’innovation dans le secteur public, dans la mesure où ils apportent des améliorations dans la prestation des services, la gestion des ressources, et la prise de décisions. Cette transformation est souvent désignée sous le terme de gouvernement 3.0, mais ce terme n’a guère d’importance ; attachons-nous plutôt à voir comment la supervision confère aux organes publics des possibilités techniques accrues.
Principales difficultés liées à la supervision
des systèmes informatiques publics
Les potentielles difficultés associées au domaine de l’informatique et des services publics sont
sans doute trop nombreuses pour être abordées en quelques paragraphes.
Nous avons toutefois tenté de recenser les principales, afin de brosser un tableau préliminaire des problématiques récurrentes dans ce secteur.
Multiplicité des sites distribués
Qu'il s'agisse d’une antenne d'un organisme public, d'un conseil départemental ou de plusieurs centres de données publics, presque tous les départements IT des institutions publiques sont tenus d’administrer des sites distribués et d’en garantir le fonctionnement. Pour ce faire, une méthode consiste à déployer sur chacun de ces sites des satellites (à ne pas confondre avec les agents, que l’on doit installer sur chacun des périphériques à surveiller) chargés de recueillir les données de supervision relatives aux sites concernés et de les envoyer sous forme chiffrée à l'instance centrale, laquelle s’occupera de l'évaluation et du stockage de toutes ces données. Cette méthode a l’avantage de minimiser les coûts et de réduire les dépenses d'exploitation et de maintenance à un minimum acceptable, tout en assurant une surveillance centralisée de l'ensemble du système informatique.
Environnements informatiques hétérogènes
De par leur intégration de bureaux régionaux, de structures existantes, de matériel et de logiciels, d’environnements virtualisés… les réseaux des institutions publiques sont loin d’être homogènes. Les périphériques et applications possèdent leurs propres outils de supervision. Certes, ceux-ci nous fournissent des informations exploitables, mais ils ne permettent guère de se faire une vue d’ensemble de l’environnement informatique. Pour cela, il faut recourir à des solutions universelles qui soient capables de superviser des périphériques et applications indépendamment de leurs fabricants ou éditeurs, mais aussi d’intégrer des solutions dédiées au mécanisme général de supervision. En l’espèce, les facteurs décisifs sont, d’une part, la standardisation de la solution, gage d’une maîtrise des coûts, et, de l’autre, la capacité à connecter des solutions spécialisées au moyen d’interfaces adaptées.
Données sensibles
Les autorités et institutions publiques ont à gérer les données confidentielles des citoyens. Avec les fournisseurs de services publics, les collectivités locales assurent la fourniture d’électricité, d’eau et de gaz. Elles veillent à ce que les pompiers et policiers soient toujours prêts à intervenir quand cela s’avère nécessaire. Tout ceci implique de disposer d’un système informatique fiable et sécurisé. Pare-feu, antivirus, et systèmes de sauvegarde sont les trois piliers du concept de sécurité intégrée. Reste qu’il faut vérifier que ces systèmes fonctionnent avec toute la fiabilité requise. Les sauvegardes sont-elles menées à bien ? Le pare-feu est-il opérationnel ? L’antivirus est-il à jour ? Une solution de supervision complète doit inclure toutes ces variables dans son mécanisme de surveillance.
Identifier la bonne solution de supervision
Tant les processus internes que les services aux citoyens dépendent fortement de la qualité du réseau, qui se doit d’être à la fois
toujours disponible et extrêmement performant. Pour s’assurer de tenir ces deux objectifs, les départements IT ont besoin
de disposer des informations appropriées. Informations que peuvent leur fournir les outils de supervision réseau.
Cependant, tous les outils ne remplissent pas le cahier des charges très spécial de ce domaine sensible. Il est donc nécessaire
de procéder à une étude de marché minutieuse avant de se décider à déployer une solution de supervision générale.
Il importe notamment de prendre en compte les critères suivants :
Indépendance vis-à-vis
des éditeurs
L’efficacité d’un mécanisme de supervision passe par l’indépendance. Dans le secteur public, cette notion correspond avant tout à l’autonomie des entités locales (quand les autorités ou les organes d’État sont disséminés sur de nombreux sites géographiques) et l’indépendance vis-à-vis des éditeurs et fournisseurs. Ces problèmes doivent pouvoir être surmontés au prix d’efforts raisonnables et à un coût soutenable. La prise en charge des normes courantes, quant à elle, est évidemment de rigueur.
Fiabilité et capacités de redimensionnement
Aucun aspect des systèmes informatiques publics ne revêt autant d’importance que la sécurité ou la fiabilité. Le mécanisme de supervision des systèmes critiques ne peut se permettre aucune erreur. Il doit aussi être à même de protéger les données sensibles et de repousser les attaques. L’évolutivité des solutions individuelles et leur intégration via des API viennent parachever le tout. Vous devez disposer des outils qui offrent la meilleure sécurité pour les besoins qui sont les vôtres.
Données historiques
La conservation des données historiques permet de gérer l’optimisation du réseau de façon ciblée, non seulement concernant certains problèmes, mais aussi au long cours, dans le cadre d’une mission bien définie. La possibilité de superviser de façon poussée le site web d’une institution ou d’une autorité publique permet de ne pas se laisser distraire par les problèmes actuels et de ne pas perdre de vue l’ensemble du tableau.
Coûts et licences
Les acteurs du secteur public étant tenus de justifier la moindre dépense, ils privilégient fort logiquement les outils bon marché, a fortiori quand ceux-ci ne font pas d’impasse en matière de fonctionnalités, de fiabilité ou de services. Partant de ce postulat, une solution de supervision destinée aux systèmes informatiques publics doit reposer sur un modèle de licence économique, toujours transparent, et sans coûts connexes déraisonnables.
Paessler a été désigné comme « Choix des clients » par Gartner Peer Insights dans la catégorie « IT Infrastructure Monitoring Tools ».
« Un excellent outil pour superviser un réseau sous toutes les coutures. Les alarmes et les notifications fonctionnent à merveille. L’intégration des périphériques à surveiller est un jeu d’enfant, et l’installation du serveur est tout aussi simple. Bref, un produit à recommander à tous ceux qui veulent superviser un environnement informatique de grande envergure. »
Témoignage d’un ingénieur Infrastructure et Opérations d’une entreprise de communications générant un chiffre d’affaires annuel compris entre 10 et 30 milliards de dollars
PRTG Network Monitor,
l’outil idéal pour superviser les systèmes des services publics
À travers PRTG, Paessler propose une solution de supervision complète qui intègre
toutes les fonctionnalités nécessaires pour superviser les systèmes informatiques publics.
Sites géographiques multiples ? Pas de panique !
La flexibilité d’emplacement doit constituer une priorité absolue de tout mécanisme de supervision du secteur public, à l’heure où la diversité du hardware et des logiciels est devenue la règle du jeu : aujourd'hui, il faut utiliser, contrôler et gérer un large éventail de produits distincts. L’API et les capteurs personnalisés de PRTG permettent d’intégrer facilement les solutions et composants propres à chaque site à la solution centrale de supervision, tandis que la solution minimise les coûts grâce à son haut niveau de standardisation.
Être alerté quand la situation le réclame
La configuration et la fonctionnalité des transmissions de données, analyses, du stockage et de la publication sur les systèmes informatiques publics sont parfois identiques à celles d’un réseau informatique classique comme on en trouve dans toute entreprise. L’utilisateur de PRTG peut définir des seuils de tolérance pour déclencher l’envoi d’une alerte avant qu’une panne se produise. C’est lui qui choisit le format d’alerte qui lui sied le mieux, comme un e-mail, une notification push ou un SMS. Le système de notification est extrêmement utile aux agents qui sont d’astreinte, car ils visualisent immédiatement la nature du problème rencontré.
Protection et sécurité
des données
N’oublions pas la question de la sécurité dans la supervision des systèmes informatiques publics. PRTG surveille tous les types d’outils de sécurité, des pare-feu aux antivirus, en passant par les systèmes de sauvegarde. Il renforce considérablement tout dispositif de sécurité, car il porte à l’attention de l’utilisateur toute activité anormale qui pourrait trahir la présence de logiciels malveillants. PRTG est sur le pont 24h/24 et 7j/7, sans jamais faillir à sa tâche, tout en s’assurant que l’ensemble des processus fonctionnent correctement et que toutes les données sont dûment protégées.
Des prises de décisions facilitées
Comme évoqué auparavant, les coûts et les types de licences d’une solution logicielle sont les premiers facteurs que le secteur public examine avant de décider ou non d’en faire l’acquisition. À cet égard, PRTG frappe fort, puisque toutes ses licences donnent accès à l’ensemble de ses fonctionnalités, sans requérir ni module ni add-on. Cette transparence facilite grandement la prise de décision des autorités publiques. PRTG se décline en deux modèles de licences : les clients peuvent opter soit pour une licence valable à vie, soit pour un abonnement, ces modèles étant l’un comme l’autre conçus pour se redimensionner facilement en réponse à la croissance des besoins.
Les success-stories de nos clients
Partout dans le monde, des entreprises se fient à PRTG pour s’assurer du bon fonctionnement de leurs systèmes informatiques.
Une municipalité améliore son réseau à l’aide de PRTG
La ville d’Airdrie a déployé PRTG et se félicite aujourd'hui d’avoir porté son choix sur ce que l’équipe considère comme un atout de taille. À l’heure actuelle, plus de 1 000 capteurs de PRTG sont à l’œuvre sur l’ensemble du réseau de la municipalité et indiquent aux responsables tout ce qui s’y passe, de la consommation de bande passante à la supervision des liaisons hertziennes à large bande, en passant par l’espace disque des serveurs, notamment ses propres serveurs de messagerie et de fichiers.
Gwynedd Council garantit la disponibilité de ses services critiques avec PRTG
Fournisseur et gestionnaire de différents services publics, le Conseil régional de Gwynedd, au Pays de Galles, a besoin que son réseau informatique soit hautement disponible pour que ses plus de 7 000 employés puissent accomplir sans heurt leurs missions quotidiennes. Pour ce faire, le Conseil doit pouvoir compter sur des mises à jour régulières et rester en permanence informé des performances de son réseau de sorte à assurer la continuité de service du matériel et à éviter ou éliminer les temps d’arrêt. Comme les services du Council sont disponibles 24h/24, 7j/7, le département Informatique a besoin de superviser et de rendre compte de la disponibilité des systèmes critiques en prise directe avec les clients.
Quand les pompiers du Brabant flamand éteignent les incendies sur leur réseau à l’aide de PRTG
Joeri Jacobs est l’administrateur système de la brigade des pompiers de la province du Brabant flamand depuis 2014. Avec un de ses collègues, il est responsable du bon fonctionnement de l’infrastructure informatique des dix casernes de cette région de Belgique. Les serveurs et les applications, de même que les imprimantes et les groupes électrogènes de secours des pompiers doivent fonctionner de jour comme de nuit pour assurer la protection des 600 000 habitants de l’agglomération de Bruxelles. Aussi est-il indispensable que l’équipe chargée des technologies de l'information et de la communication supervise en continu le réseau, ainsi que le système.